Sur la route
La vie de routard exige un profil « bien particulier » avec des qualités propres à ce type de voyage. En effet, “être sur la route” demande des ressources humaines … à cultiver par chaque rencontre, par chaque point d’échanges ou encore par le jeu des expériences inédites parfois.
Un état d’esprit ouvert devrait alors être au rendez-vous… pour accueillir bien souvent l’imprévu !
Vie de découverte
La curiosité jalonne la vie de routard. Apprécier développer ses connaissances et les approfondir au contact des autres est un tremplin indispensable pour cette option du voyage.
Vie communautaire
Le partage mais aussi la promiscuité possible dans un camping, une colocation voire un camping-car (!) appelle à tout moment une disponibilité avec une notion d’entraide, valeur sûre pour consolider une « vie à plusieurs ».
Vie solitaire
Bien que les relations avec autrui soient au centre du voyage itinérant, l’éloignement de la famille pourrait se faire ressentir, aussi quelques photos en poche ou sur le téléphone, quelques échanges par internet ne sont pas à négliger pour la joie de chacun.
Vie sobre
Monnayer « quelques coups de main » ne saurait assurer un train de vie argenté. L’idée d’un voyage à l’étranger comporte cette idée de vivre sobrement à la rencontre de cultures à respecter.
Aussi sans dépense excessive. Le taux de change n’est pas favorable à certains pays. Aussi nos dépenses “non maîtrisées” pourraient heurter une population parfois « aux abois ». Même si le routard a un train de vie très modeste, son porte-feuille peut correspondre à plusieurs mois de salaire d’un travailleur autochtone.
Vie dans l’incertitude du lendemain
Il est important – me semble-t-il de :
- s’ouvrir à des opportunités pour cheminer avec un groupe croisé par hasard,
- savoir planifier une randonnée avec les éléments naturels qui peuvent changer,
- penser composer avec les ressources financières du moment,
- reconnaitre la richesse et l’apport de la différence.
En un mot s’adapter à ce long fleuve des “possibles” qui est loin d’être figé.
Avant de partir il est important de se poser les bonnes questions du “pourquoi ce voyage” et de quelle manière je l’envisage. Partir en solo, à deux ou avec des enfants engendrent des ancrages différents pour se véhiculer, s’arrêter dans certains lieux ou encore traverser certaines contrées.
Pas à pas, les réponses successives construiront ou déconstruiront … une personnalité riche et épanouie reposant sur de multiples expériences à raconter et à partager. Encore faut-il s’accorder cette formidable perspective d’une transformation possible aux contacts des autres, des autochtones, de la différence d’un regard… à jamais coloré.
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