Transports : s’assurer un mieux – être ?
Transports… Ce n’est pas une « mince » affaire ! Avoir le mal des transports ou lutter contre le décalage horaire… à pied, serait le plus simple, mais vivant sur une île, l’avion reste un mode de transport presque inévitable… ! Aussi cet article aborde quelques petits astuces bons à rappeler ? Dites-nous tout…
Combattre le mal des transports
- Les reconnaître : nausées, sueurs, vomissements
- Restreindre les mouvements de la tête et du corps (oreiller ou appui-tête, place au milieu de l’avion car moins sensible aux turbulences)
- Fixer un objet stable ou fermer les yeux
- Eviter d’avoir trop chaud (mais on ne peut pas régler la climatisation en avion, d’où penser aux vêtements amples)
- Se détendre en écoutant de la musique ou en se concentrant sur sa respiration (c’est ce que je fais le plus « facilement »…) ou exercer une activité mentale (rebours à partir de 100)
- Eviter de manger un repas copieux ou de boire de l’alcool avant et pendant le voyage… euh, un petit verre de « blanc » quand même ?
- Restez calme: attitude « Zen » pour diminuer l’inquiétude (pas évident, mais on essaye !)
- Tester le gingembre (boissons, biscuits, bonbons…) efficace, notamment contre les nausées et les vomissements
- Médicaments sur avis médical : antihistaminiques (sans prescription) ou scopolamine (avec prescription)
Eviter le décalage horaire
- Moins de 4 jours : garder l’heure française ; sinon heure du pays d’arrivée dès la montée d’avion
- Vers l’Ouest : plus facile d’adaptation car suit le soleil (se coucher à l’heure locale)
- Vers l’Est : adopter l’heure locale pour le réveil
- Pratiquer un sport permet de se recaler rapidement : ne pas le faire juste avant de dormir mais quelques heures après l’arrivée. Un « petit footing » de 20 min sera amplement suffisant ; si l’environnement ne le permet pas, la séance d’abdos ou de gainage que l’on affectionne nous aidera !
- Respecter des cycles de 90 minutes, sans vouloir dormir 8 heures d’affilée
- Utiliser l’hormone du sommeil ou mélatonine à prendre selon le sens du vol…
Contre indications aux transports aériens
Ci-contre une épingle pour les contre-indications du voyage aérien
Aussi qu’il ne faut pas voyager après une sortie en bouteille (plongée) dans les 24 heures
Que la pratique sportive, même si elle est conseillée, doit être mesurée (fatigue)
> 50 ans, des capacités d’adaptation imposent un repos (pourquoi ne pas prévoir une escale de 2 jours ?) ou un voyage adapté (sans « enchaîner » les excursions) et favoriser pendant les transports la circulation sanguine.